mardi 18 septembre 2012
« Nous sommes si peu de chose… »
« Nous sommes si peu de chose… »
Plus nous avançons en âge, plus nous perdons ce sentiment d’invincibilité (ou d’inconscience…) que nous avons lorsque nous sommes très jeunes.
La première fois que nous découvrons que la mort atteint aussi ceux que nous aimons quel que soit leur âge, que la maladie ne nous épargne pas, nous sommes blessés, stupéfaits.
Ceux qui le découvrent très tôt deviennent dif
Plus nous avançons en âge, plus nous perdons ce sentiment d’invincibilité (ou d’inconscience…) que nous avons lorsque nous sommes très jeunes.
La première fois que nous découvrons que la mort atteint aussi ceux que nous aimons quel que soit leur âge, que la maladie ne nous épargne pas, nous sommes blessés, stupéfaits.
Ceux qui le découvrent très tôt deviennent dif
férents.
Ils savent.
Et ce savoir là, ils le gardent pour la vie.
Même si certains d’entre eux prennent leur destin à pleines mains et marchent là où ils souhaitent aller, secoués et frappés par les caprices de la vie, ils gardent en eux cette conscience muette de la fragilité de l’Homme.
Certains plus que d’autres développent la résilience, ce phénomène psychologique permettant de résister aux chocs les plus terribles.
Le problème est qu’autour d’eux, il y a toujours un ou plusieurs stupides pour penser qu’un être capable de résister à de profondes souffrances peut résister à tout.
Et se permettent de tester leur conviction en leur faisant subir le pire.
La perception affinée de la fragilité de la vie, je la connais depuis toujours, et je la ressens encore plus clairement depuis des mois.Comme tout le monde, je marche à tâtons dans un univers souvent flou.
Ils savent.
Et ce savoir là, ils le gardent pour la vie.
Même si certains d’entre eux prennent leur destin à pleines mains et marchent là où ils souhaitent aller, secoués et frappés par les caprices de la vie, ils gardent en eux cette conscience muette de la fragilité de l’Homme.
Certains plus que d’autres développent la résilience, ce phénomène psychologique permettant de résister aux chocs les plus terribles.
Le problème est qu’autour d’eux, il y a toujours un ou plusieurs stupides pour penser qu’un être capable de résister à de profondes souffrances peut résister à tout.
Et se permettent de tester leur conviction en leur faisant subir le pire.
La perception affinée de la fragilité de la vie, je la connais depuis toujours, et je la ressens encore plus clairement depuis des mois.Comme tout le monde, je marche à tâtons dans un univers souvent flou.
mercredi 12 septembre 2012
Je prends soin de ma santé.
J'ai vu mon médecin .Je dois maigrir et faire attention à mon sucre,risque de diabète. Je fais du cholestérol ,le mauvais est trop haut. Alors depuis que je sais tout ça j'ai commencé un régime et je fais de la marche rapide. Le plus souvent possible 2 à 3 fois par semaine.Je marche 30 à 40 minutes. Tout ce que je souhaite c'est que ça m'apporte un peu de résultat pour mon cholestérol.Je prends ma glycémie tous les jours.J'ai déjà perdue 10 livres et je souhaite en perdre encore autant .Je me sens en meilleurs forme au travail et je veux continuer à m'entrainer le plus régulièrement possible.L'idéal serait que je perde au moins 20 livres encore ,mais c'est difficile. Je suis cependant très décidé à perdre du poids et ça prendra le temps qu'il faut. J'ai peur de vieillir et d 'être malade comme ma mère l'a été.
samedi 1 septembre 2012
Un sujet qui me touche...
Je veux revenir sur un sujet qui me touche beaucoup. Le 16 aout cela a fait 3 mois que mon mari a été réopéré. Le médecin lui avait dit de ne pas forcer pendant cette période.Je lui ai fait remarquer.Après le souper nous sommes allé faire une longue marche et en rentrant à la maison nous sommes allé prendre une douche.Nous sommes allé dans la chambre pour se relaxer et s'étendre sur le lit quelques instants pour se reposer.On s'est enlacer.Il m'a caressé doucement et j'ai bien senti qu'il voulait aller plus loin.Nous avons fait l'amour. Après 8 mois d'attente je n'ai pas eu d'orgasme.Je n'y ai pas vraiment pris plaisir, peut-être parce que j'ai attendu trop longtemps et que dans le fond je m'étais fait à l'idée que je ne ferais plus l'amour avec lui. Je ne sais pas quand nous referons l'amour,en plus je ne sais plus trop si j'ai encore du désir pour lui et ça me fait mal d'y penser.J'ai de la peine de savoir qu'à mon age je ne connaitrai plus les frissons de l'acte sexuel. J'ai toujours aimé faire l'amour et ça me manque.Quand son homme perd le gout de faire l'amour et que ça ne devient plus important pour lui ,on se retrouve devant une grande solitude. Le manque de caresses et de chaleur du corps contre le sien devient douleur et peine.Quand je repense à tout ça ,j'ai envie de pleurer.
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